Quelles différences entre l'homme de Neandertal, l'Homo-Sapiens et nous ? Quels sont les plus évolués ? La technologie ne nous détruit-elle pas ? Les réseaux sociaux et les médias ne nous broient-ils pas nos cerveaux ?
Finalement nos ancêtres avaient l'air plus heureux et certainement beaucoup plus intelligent que ce que l'on veut nous faire croire.
Et puis, que sera notre futur ? Ne sommes-nous pas les "Cro-Magnon" de nos enfants et futurs petit enfants...
Et puis, comment nos aïeux nous verrons dans 50 000 ans lorsqu'ils verront passer la comète C/2022 E3 ZTF ?
Finalement, y a t-il une différence entre l’homme de Cro-Magnon et nous ?
Nous avons peu évolué, toujours des batailles, des bagarres, des guerres pour déterminer celui qui est le plus fort le plus beau ou qui en a plus…
Le physique a certes muté, mais le cerveau reste égal à son origine…
De la conquête des territoires nouveaux, nous sommes passés à la conquête de l’Espace tout en polluant notre planète au point ou un non retour devient presque impossible au détriment de notre propre survie !
Comment vont vivre nos enfants et petits-enfants sur cette planète à la dérive… Enfin, la planète, elle, survivra… mais l’humanité ?
Un air devenu irrespirable, l’eau de plus plus rare, les espèces animale en voie d’extinction… jusqu’à la disparition totale de l’homme ?
Quel avenir ?
Rarement une civilisation est arrivée à ce point.
Après un cahot inévitable d’ici la fin du 21e siècle, il faut espérer qu’une nouvelle espèce réapparaisse quelques millénaires plus tard à l’image de nos hommes de Neandertal ou Cro-Magnon…
Les questions sur les origines ouvrent un champ des possibles aussi diverses que variées.
Quelles sont mes origines ? Quelles sont les origines de ma famille ? Quelles sont les origines de ma région ? De mon pays ? Se mon histoire ? De notre histoire ? Des origines de l'humanité ? Ses origines de la vie ? Des origines l'Univers?
Il y aura autant de réponses différentes que d’humain sur terre, les origines de chacun étant influencées par des cultures, des lieux et des époques différentes. Les temps changent, les modes de pensée évoluent, mais nos origines nous rappellent d'où l'on vient et qui nous sommes.
Des poussières d'étoiles bénies par la vie évoluant dans une oasis luxuriante au cœur du plus hostile des environnements : l'espace. - 270 degrés Celsius, pas d’atmosphère, pas d'oxygène et une forte exposition au radiation solaire. Nos origines peuvent justement être rattachées à une des préoccupations majeures de notre temps : le changement climatique qui menace non seulement notre style de vie mais également la vie de milliards d'espèces animales et végétales, mais aussi celle de milliards d'êtres humains dont nous faisons partie.
Nous sommes originaires de la terre, les plus proches planètes habitables, j'entends par là ayant les mêmes conditions de vie que sur la terre, sont à des millions d'années-lumière. Elles sont inatteignables pour le moment.
Cette terre qui nous abrite, nous offre la vie, la terre, l'air et l'eau dont nous avons besoin pour survivre. Aux origines nous sommes nés de la mutation de bactéries, cette mutation qui nous a mené à la position d'espèces dominante, à tel point que nous avons modifié le paysage terrestre et ses composantes biologiques.
Il serait donc temps de ne pas oublier que nous dépendons de notre environnement et que sans lui, sans ce fragile équilibre nous ne pourrons pas survivre.
Se poser Des questions sur nos origines, celle de l'univers, permet de remettre en perspective ce que nous sommes et où nous sommes, nous vivons comme disait Carl Sagan sur un point bleu.
“Pale blue dot” Titre d'un de ces ouvrages donc voici un extrait :
« Regardez ce point. C’est ici. C’est notre foyer. C’est nous. Dessus se trouvent tous ceux que vous aimez, tous ceux que vous connaissez, tous ceux dont vous avez jamais entendu parler, tous les êtres humains qui aient jamais vécu. La somme de nos joies et de nos souffrances. Des milliers de religions, d’idéologies et de doctrines économiques remplies de certitudes. Tous les chasseurs et cueilleurs, tous les héros et tous les lâches, tous les créateurs et destructeurs de civilisations. Tous les rois et paysans, tous les jeunes couples d’amoureux, tous les pères, mères, enfants remplis d’espoir, inventeurs et explorateurs. Tous les moralisateurs, tous les politiciens corrompus, toutes les “superstars”, tous les “guides suprêmes”, tous les saints et pécheurs de l’histoire de notre espèce ont vécu ici… Sur ce grain de poussière suspendu dans un rayon de soleil.
La Terre est une scène minuscule dans l’immense arène cosmique. Songez aux rivières de sang déversées par tous ces généraux et empereurs afin que, nimbés de triomphe et de gloire, ils puissent devenir les maîtres temporaires d’une fraction… d’un point. Songez aux cruautés sans fin infligées par les habitants d’un recoin de ce pixel aux habitants à peine différents d’un autre recoin. Comme ils peinent à s’entendre, comme ils sont prompts à s’entretuer, comme leurs haines sont ferventes. Nos postures, notre soi-disant importance, l’illusion que nous avons quelques positions privilégiées dans l’univers, sont mises en perspective par ce point de lumière pâle.
Notre planète est une poussière isolée, enveloppée dans la grande nuit cosmique. Dans notre obscurité, dans toute cette immensité, rien ne laisse présager qu’une aide viendra d’ailleurs, pour nous sauver de nous-mêmes. La Terre est jusqu’à présent le seul monde connu à abriter la vie. Il n’y a nulle part ailleurs, au moins dans un futur proche, vers où notre espèce pourrait migrer. Visiter, oui. S’installer, pas encore. Que vous le vouliez ou non, pour le moment, c’est sur Terre que nous nous trouvons.
On dit que l’astronomie incite à l’humilité et forge le caractère. Il n’y a peut-être pas de meilleure démonstration de la vanité humaine que cette lointaine image. Pour moi, cela souligne notre responsabilité de cohabiter plus fraternellement les uns avec les autres, et de préserver et chérir le point bleu pâle, la seule maison que nous ayons jamais connue. »
Texte inspiré par la photo ci-contre prise le 14 février 1990 par la sonde Voyager 1, alors qu’elle se trouvait à plus de 6 milliards de kilomètres de la Terre, au-delà de l’orbite de Neptune
Comme il le dit si bien, nous devrions faire preuve d'humilité et se souvenir que nos origines sont sur terre et que nous nous devons de la respecter, la chérir et faire tout notre possible pour qu'elle ne devienne pas un enfer à vivre. Comme disait krishnamurti "Si nous aimions réellement nos enfants, nous voudrions les sauver et les protéger, nous ne permettrions pas qu'ils soient sacrifiés dans des guerres" ou Aujourd'hui à cause de notre inaction à enrayer le changement climatique et la pollution de l'environnement à cause de notre mode de vie.
L'humanité d'aujourd'hui fait face à de grandes menaces et devrait effectuer de grands changements dans ses comportements, tant sur la consommation que sur le respect de chacun ou le respect de l'environnement, nous avons peu de temps pour faire ces changements, certains seront faciles d'autres plus difficiles et c'est un véritable défi qui se trouve devant nous, mais si on regarde nos origines d'où l'on vient, cela fait seulement 70 ans que l'humanité vit dans le luxe que nous connaissons aujourd'hui ; nous pouvons donc encore adopter des comportements simples et des modes de vie plus respectueux de la nature. D'autres l'ont fait avant nous. la vie de nos enfants vaut bien que nous nous battions pour de nouveaux idéaux. Ne trouvez-vous pas ?
Les secrets de l’Univers, dans lequel nous sommes tous unis.
Sommes-nous tous Unis-vers et vient-on tous de cet Uni-vers? Cette porte avec un verrou s'ouvre et nous mène vers-où ? Tout est dans tout – nous sommes tous reliés dans cet inconnu –l’un-connu perçant le secret de nos origines.
Vous aurez probablement remarqué qu’a été rompue la liaison avec Piero, mon alter ego de Shima. Pauvres terriens en perdition, je scrute l’espace sidéral pour y constater, impuissants et à mon grand effroi, les bouquets finaux de satellites impitoyablement abattus durant les rudes combats impérialistes que se livrent actuellement nos gouvernements aux ordres des requins de la finance universelle et interstellaire, ceux-là même qui – vous en souvenez-vous? – ont ordonné la destruction de la cité insoumise d’Annabelle et le massacre immonde qui s’ensuivit.
Au plus profond d’humides et noirs abris, je tente d’apaiser mes angoisses par les souvenirs de ces jours – au début des années soixante-dix du vingtième siècle – où, encore jeune et ignorant des diverses catastrophes et maladies qui s’abattraient sur moi, j’écrivis l’Obsidienne, un texte aujourd’hui égaré. Il devait être ou a été édité par Jean Roger Bronnimann aux éditions Lidwine, à Nogaro, dans le Gers, au pays de l’Armagnac. Ce dernier détail a une certaine importance, car nous étions justement en train d’en déguster un fameux pour fêter notre projet commun d’édition lorsque, comme en signe d’avertissement du divin courroux dont nous niions l’omnipotence, un tremblement de terre de basse intensité fit vibrer nos chaises, notre table, la bouteille et nos verres.
Cependant, ce texte égaré donna naissance à un embryon d’activité éditoriale et je commençai alors de publier à la main quelques-uns de mes recueils aux éditions que je nommai «de l’Obsidienne», une pierre noire volcanique riche en silice et donc assez proche du verre, un matériau qui m’a toujours fasciné sans que je ne connaisse, encore aujourd’hui, l’origine de cette fascination. Et puis, et puis, la vie passa.
Les témoins de cette époque lointaine se sont ainsi perdus en quelques greniers, pour «le plaisir des araignées», si vous voudrez bien me permettre d’évoquer ici la défunte revue d’un vieil ami, Didier Michel Bidart alors animateur des Éditions de l’Ecchymose. Actuellement, heureux propriétaire d’un ancien silo – quel symbole –, il y stocke des centaines de livres, manuscrits et autres correspondances qui ont pu s’échanger durant les années soixante-dix entre les nombreux jeunes écrivains qui se refusaient à considérer que seules les grandes maisons d’édition pouvaient avoir le droit de régner et de décider qui gagnerait le gros lot de la publication, en dizaine de milliers d’exemplaires, d’un texte dont chaque mot avait été dûment approuvé à la suite de multiples tractations et autres censures qui ne se déclarent pas comme telles et, surtout, qui serait parfaitement adapté au marché ciblé.
La vie ne peut se dérouler autrement qu’en opposition aux actions dégradantes, oppressantes et destructrices qui font de ce monde une macération putrescente. Nos révoltes, fertiles en actions multiples et erreurs fondamentales, ne s’improvisent pas; ne baissons donc pas les bras.
Ainsi l’Obsidienne continua sa petite vie souterraine ; au plus profond d’antiques et sombres escaliers, elle attendait la visite d’une archéologue inspirée qui, enfin, y trouverait l’origine du monde.
Et aussi incroyable que cela puisse paraître, cela advint. Une certaine Sarah Cohen, une bagowd, une juive agnostique – qui avait lu Kundera et déclare que sa famille est originaire de Moravie – vint un jour à ma rencontre et me proposa de prendre en main la responsabilité de la communication des éditions de l’Obsidienne sur les réseaux sociaux afin d’en promouvoir les publications, les auteurs et les autrices, depuis le site que j’avais créé dans les années quatre-vingt-dix.
C’est pourquoi, ne m’en voulez pas, je vous en prie, je me permettrai, à mon tour de donner un petit coup de projecteur sur Sarah, qui est aussi une grande poétesse en vous proposant la lecture de Source :
d’un proche avenir pygocole, leurs grands yeux pétillent.
Trêve d’anaphrodisie!
Elles sourient, miment de callipyges vénus.
Elles rient.
Sous le frêne naît l’eau si claire et la clairière est si fraîche, et le soleil si doux, et leurs doigts si agiles et rieurs.
Depuis plus d’un an maintenant, nous travaillons en partenariat avec l’association « L’amitié Beauce, Perche et Thymerais » qui édite tous les trimestres la revue « La Gazette ».
Cette revue vient de recevoir l’agrément préfectoral « Jeunesse - éducation populaire locale » qui découle des 22 années d’activité associative générée par l’association.
Cet échange très riche, nous permet de profiter de 6 pages à l’intérieur de cette revue pour y transmettre nos informations et notre point de vue sur l’art, la poésie et la philosophie.
et vous permettra de découvrir votre région ainsi qu’une grande partie de ses acteurs dans des échanges plein d’humanité.
Cette newsletter est une production de l’Aréopage - Les Indépendants du Perche ©2023
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V02 modifiée le 3 mars 2023
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