Ah, "L'Ego du moi(s)"... ce magazine qui, tel un caméléon culturel, se plaît à jongler entre l'audace artistique et la provocation littéraire.
Un véritable ovni éditorial qui, chaque mois, vous sert sur un plateau d'argent des œuvres tantôt déroutantes, tantôt stimulantes, mais toujours promptes à bousculer nos petites habitudes intellectuelles.
Pour les optimistes, c'est une bouffée d'air frais, une invitation à l'évasion créative, un manifeste contre la monotonie.
Pour les grincheux, c'est une énième tentative de l'avant-garde pour se donner des airs, une collection d'excentricités qui se complaît dans l'anticonformisme.
Tel un caméléon !
(Textes de Régis Brindeau)
Faites l’humour pas la guerre !
(Paul Baringou)
Mais au fond, n'est-ce pas là tout le sel de "L'Ego du moi(s)" ?
Un magazine qui, en jouant sur les paradoxes, nous pousse à remettre en question nos certitudes et à embrasser la complexité du monde artistique.
Après tout, comme le dit si bien Paul Baringou : "Faites l’humour pas la guerre ! ».
Alors, que vous soyez amateur d'art éclairé ou simple curieux en quête de nouveauté, laissez-vous tenter par cette aventure éditoriale qui ne manquera pas de titiller vos méninges et d'éveiller votre sens critique.
L’Ego du moi(s) Vidéo sur
Ce mois-ci, l’Égo du mois prend la plume et s’aventure sur les chemins entre l’art et l’écriture — là où les mots deviennent matière, musique, et miroir de soi.
Tout commence par une dictée pas tout à fait comme les autres : celle d’un vieil instituteur, à la voix patinée par le temps et l’accent du Midi qui chante comme un soleil d’école buissonnière.
Puis, nous rencontrons une jeune auteure jeunesse, passionnée par la nature, la biodiversité et la transmission.
Dans ses histoires, les arbres chuchotent, les rivières murmurent et les animaux enseignent à l’homme l’art de l’équilibre.
À travers ses livres, elle invite les enfants — et les adultes — à regarder le monde autrement, à renouer avec le vivant et à comprendre que l’imaginaire est une forme d’action